blog

lundi 15 janvier 2018

To be or not to be VEGAN ?

Il y a des mots à la mode qui veulent tout dire, rien dire ou vraiment mal dire : VEGAN est de ces mots là.
Lorsque j’entends quelqu’un dire "je suis vegan", je ne sais jamais (et le sait-il lui-même) s’il est vraiment vegan, végétarien ou végétalien : That is the question.
Alors voilà quelques petites précisions pour s’y retrouver.


Le végétarien, comme son nom l’indique, puise la plus grande partie de son alimentation dans le monde végétal : légumes, fruits, céréales et légumineuses.

Il ne mange pas de chair animale : ni viande, ni poisson ni fruits de mer. 
Cependant il  consomme tous les produits dérivés du monde animal tels que lait, laitages, fromages, beurre, œufs et miel.

C'est la version la plus "facile à vivre". On peut trouver n'importe où une omelette à l'heure du déjeuner ou  une assiette de fromage à l'apéro. Chez nous, tant que tu manges du fromage tu es un être civilisé !
 




Le végétalien, se nourrit exclusivement de produits d’origine végétale. Légumes, fruits, céréales et légumineuses sont la base de son alimentation. 
z

Il   Il remplace le lait par des laits végétaux,
Il épaissit ses préparations avec des graines de chia et tartine du beurre d’amandes, de noix de cajou ou de noisettes sur son pain complet. Pour Noël il prépare ses truffes avec de l’huile de coco et des noisettes grillées (un vrai régal)
Il offre une place de choix quotidienne aux légumineuses pour faire le plein de protéines : lentilles, haricots rouges ou blancs, pois chiches, fèves, pois cassés.



Le vegan quant-à lui n’est rien d’autre qu’un végétalien qui a élargi le concept en refusant tout ce qui provient du monde animal ailleurs que dans son assiette.
Pas de laine, d’accessoires en cuir (vêtements - sièges - volants etc), pas de cosmétiques traités sur les animaux.
Le véganisme est une philosophie de vie qui se soucie autant du futur de la planète que du bien-être animal en plus de la santé de l'homme.



Quant-au sacro-saint calcium de « nos amis pour la vie », il le remplace aisément par le calcium fourni par les légumes car il sait que seulement 30 à 32% du calcium présent dans les produits laitiers est assimilé par son organisme contre +/- 63% pour les choux par exemple.